Il était trop le matin quand Zaraki sortit du bureau de l'Hokage d'où il venait de se voir attribuée sa mission donnée par Uchitoru, Zaraki pris la direction des rues afin d'aider les gens de Konoha dans leurs tâches quotidiennes. Il faisait très beau et cela inspira à Zaraki une petite chansonnette qu'il se mit à fredonner:

Je me baladais dans les rues, le cœur ouvert aux inconnu(e)s. J'avais envie d'apporter mon aide à n'importe qui. Et grâce à moi tout ira, beaucoup mieux à Konoha, si c'est pas la classe ça.

Au bout de quelques minutes à marcher dans les rues, Zaraki vit enfin une première personne à aider. Une vieille femme qui venait de faire ses courses et qui avait beaucoup de mal à porter son sac. Zaraki s'approcha et proposa son aide à cette pauvre femme. Cette dernière accepta, et c'est ainsi que Zaraki pris le sac de courses d'une main et aida la vieille femme en lui fournissant un support avec son autre bras. Ils arrivèrent enfin chez la vieille dame qui invita Zaraki à prendre un verre de jus de fruit, mais ce dernier refusa:

Je suis dans l'obligation de refuser, ma missions est d'aider un maximum de personne, il ne faut pas trop que je m'attarde. Merci. Au revoir.


Continuant sa route, il frappa à quelques portes des habitants du village, toujours en leur demandant si ils voulaient bien accepter l'aide qu'il proposait. Un gérant d'une échoppe accepta l'aide proposée de Zaraki pour décharger des tissus qu'il venait de recevoir et le que le transporteur venait de mettre derrière l'échoppe en vrac. Zaraki, content d'être utile, de rendre service tout en repensant à sa mission accepta avec joie. Cela pris certes un peu de temps car il fallait faire très attention à ne pas abîmer le tissu plus qu'il n'y était déjà. Zaraki accomplit sa tâche avec succès, Le marchand remercia Zaraki et lui donna un petit pourboire. Zaraki accepta et partit toujours en quête de rendre service.


Ainsi il continua sa route, et toujours allant de porte en porte, demandant aux villageois si Zaraki pouvait leur apporter un peu d'aide dans leur quotidiens. Il tomba sur une femme qui devait promener son chien, pendant qu'elle devait faire le ménage. Zaraki promena le chien tout en continuant de chercher des personnes susceptibles de vouloir de l'aide. C'est là que Zaraki aperçu un chat coincé dans un arbre et qu'un petit vieux essayait de reprendre. Ce dernier tentait vainement de monter sur une échelle mais le vertige l'empêchait totalement d'agir. Zaraki s'approcha et demanda:

Bonjour monsieur! Voulez-vous de l'aide afin de récupérer votre chat?
J'accepte votre aide avec joie, jeune homme. C'est très gentil de votre part!
Il n'y aucun problème monsieur. Pouvez-vous juste me tenir le chien s'il vous plaît, pendant que je récupère votre chat?
Bien sur! Donnez le moi!

Et pendant que Zaraki récupérait le chat, le petit vieux, pendant un moment de distraction, lâcha la laisse du chien qui parti en direction du poulailler de la personne âgée. Zaraki donna le chat au petit vieux:

Merci jeune homme. Vous m'avez rendu un grand service.Je peux vous rendre votre chien maintenant, il a été bien sage, je trouve.

Et là Zaraki et le petit vieux s'aperçurent qu'il n'y avait plus la laisse. et là des aboiements se firent entendre de l'autre coté de la maison. Zaraki et le petit vieux partirent en direction du poulailler et virent le chien courant après les poules. Zaraki s'élança et essaya d'attraper le chien ou au moins sa laisse mais le chien, prenant la poursuite pour un jeu, continua de courir dans tous les sens. Le petit vieux enferma ses poules pendant que Zaraki courrait toujours après le chien. Jusqu'au moment où Zaraki l'emmena dans un coin et finit par le reprendre. Retournant à l'entrée où le chat se reposait, le chien fit de nouveau des siennes, en apercevant le chat, le chien se remit à aboyer et le chat remonta sur l'arbre. Zaraki commençait vraiment à en avoir du chien s'adressa au petit vieux:

Je suis vraiment désolé monsieur! je vais aller rendre cette source d'ennui de chien à son propriétaire et je reviens vous aider pour votre chat.
Très bien jeune homme! A tout à l'heure!
Je n'en ai pas pour longtemps. N'essayer pas de remonter sur l'échelle sans moi.
Oui oui. Ne vous inquiétez pas.

Zaraki parti donc chez la dame en espérant qu'elle avait finit de faire son ménage. En effet, elle venait juste de le finir. Zaraki raconta rapidement sa mésaventure puis redonna le chien, puis reparti chez le petit vieux pour l'aider une nouvelle fois pour son chat. Et là il vit le chat dans les bras du petit vieux, celui-ci le remarqua Zaraki et lui dit:

Ah c'est vous jeune homme! Finalement mon chat est redescendu tout seul, dès que vous êtes parti avec le chien. Merci jeune homme pour votre aide.
A votre service monsieur.


Il était presque midi, Zaraki décida d'aller manger dans un des restaurants pour aller et récupérer. Cette aventure avec le chien l'avait bien énervé et il avait grand besoin de se reposer.il pris un bon bol de nouilles puis alla sous un arbre pour se reposer. Une fois chose faite, il partit poursuivre sa mission. En réfléchissant il se dit que l'heure de manger venait de passer et donc après qu'il ferait surement la vaisselle. En effet, Zaraki toqua à une porte et une femme demanda l'aide de Zaraki pour faire la vaisselle car ils étaient très nombreux dans la famille et elle devait emmener ses enfants à l'école et que ce l'arrangeait bien que Zaraki vienne proposé son aide. Donc Zaraki commença la vaisselle. Une bonne vingtaine de minutes plus tard, la femme revint juste au moment où Zaraki venait de terminer d'essuyer la vaisselle. La femme, un peu maniaque, regarda tout le travail de Zaraki et lui déclara:

Vous avez fait du bon travail. Je vous remercie de m'avoir rendue service. Grâce à vous je me suis allégée d'une bien pénible tâche. J'aimerais juste vous demander quelque chose d'autre, ça serait de m'accompagner à faire mes commissions.

Zaraki se mit à réfléchir, pensant surement qu'il allait devoir passer beaucoup de temps à faire les courses. Il pesa le pour et le contre et finalement dit:

Très bien je vous accompagne, seulement j'aimerais que ça aille assez vite.
Généralement, avec moi, ça va relativement vite.


Zaraki dubitatif, suivie la femme qui l'emmena dans un marché qui ne se situait pas trop loin de la maison de la femme. Et Zaraki se chargea de porter les commissions. Et en effet, la femme ne prenant que des pâtes, du riz, quelques légumes et un peu de viande avait fait vite. C'est ainsi que Zaraki et la femme retournèrent dans la maison. Et Zaraki pris congé de la femme qui le remerciait pour tout ce qu'il avait fait, lui proposa un petit pourboire que Zaraki accepta.


Il commençait à faire très chaud en ce milieu d'après-midi, Zaraki parcourant toujours les rues afin de rendre un maximum de service pour ne pas avoir de regret d'échec de mission. Tout en continuant sa marche, Zaraki aperçu une personne qui lui semblait louche. Zaraki la suivit jusqu'à un moment, cette personne ce mis à courir en direction d'une dame. Il lui pris son sac alors que la dame était entrain de ranger sa monnaie d' un achat qu'elle venait d'effectuer. Zaraki ne perdit pas de temps et se lança à la poursuite du fugitif. La poursuite n'était pas facile, il y avait beaucoup de monde.Mais la grande taille de Zaraki, et le fait que ses clochettes annonçait aux passants, l'arrivée de Zaraki. Zaraki le rattrapa et en un bond se dressa face à lui. Le fugitif lança un coup de poing qui finit dans le vent, Zaraki lui attrapa le bras puis lui ms un coup de poing dans le foie avec son autre bras. Le fugitif plié en deux tout en vomissant, lâcha le sac que Zaraki pris aussitôt, puis le traînant de force le fugitif devant la dame et en lui demanda de s'excuser. Une fois chose faite, Zaraki traîna son prisonnier jusque devant les policiers s'occupant de ces délit puis repartit.


Zaraki continua son parcours, puis aida un homme à faire son jardin , ce service lui pris beaucoup de temps car il y avait beaucoup de choses à faire. Mais Zaraki finit alors que la nuit commençait à tomber. En cherchant encore il rendit encore à des villageois des services dont certain lui ont accordés un petit pourboire afin de le remercier de ce qu'il avait fait. Il se fit même inviter à manger. Sa journée et sentant qu'il ne ferais probablement plus rien ce soir. Il alla au bureau de l'Hokage rendre compte de sa journée avant d'aller se coucher.