Kotomi vs Silver

**Kotomi Miyako**

Rang : Membre d'hebi
Niveau : 0
Affinités : Katon et Suiton
Description de l'arène : Une cascade

**Silver**

Rang : Yondaime Tsuchikage
Niveau : Zero è.é
Affinités : Neton, spécialité Goken
Condition de l’arène : Accéptey !
Partenaire désiré : Nop.

**Kotomi Miyako**

Je n'aimais pas rester enfermé dans un repère me cachant vulgairement comme une tope. Je savais que j'étais une criminelle très rechercher j'ai cela m'importer peu. Rester enfermé ainsi me rappelait trop de mauvais souvenir, souvenirs qui se déroulaient dans un endroit presque identique à celui-ci. J'étais une fille qui aimait la liberté, je devais sortir et au plus vite rien à faire du danger qui pouvait m'attendre dehors, quiconque viendra me défier je le tuerais qu'importe son niveau je ne le laisserais pas me privé de cette liberté que l'on m'a déjà assez privé comme ça. C'est alors dans cette visualisation hâtive des choses que je sortis prendre l'air. Où je devais aller ? Aucune idée... Je voulais juste me changer les idées. Oublier mon passé, mon future et même mon présent, je voulais juste vivre et goûter à mes dernières heures de tranquillité. Je n'allais pas vivre longtemps et je le savais, ainsi était le future des assassins mais contrairement à ceux qui vivent longtemps moi je ne serais pas morte sans rien faire. Je me serais donné une preuve de mon existence dans ce bas monde, j'aurais laisser quelques chose après ma mort. Quel était cette chose ? Pour le moment rien mais sa ne tardera d'arriver. Je ramènerais la vraie paix dans ce monde ninja commençant tout d'abord par détruire Kiri pour mieux la reconstruire et ceci sera le début de mon existence. L'existence d'une simple gamine cherchant à ce donné un nom. Mais pas un nom pour la frime d'une certaine puissance, un nom qui rappellera une bonne ou une mauvaise action selon l'avis des personnes qui parleront de moi. C'était pour cette raison que je ne voulais pas mourir maintenant, je devais rester en vie jusqu'à ce jour et lorsque je me serais occupé de Kiri je laisserais quelqu'un d'autre poursuivre mon travaille. Une personne éprouvant la même haine que moi...
Marchant tranquillement dans la forêt je me dirigea vers une petit cascade. Celle-ci scintillait à la lumière du soleil me donnant par la même occasion un très beau spectacle. M'approchant de cette eau transparente je m'accroupis avançant mes fins doigts dans ce liquide transparent et glaciale souriant de façon nostalgique pour une raison inconnue. Peut-être était-ce la beauté de cette endroit qui me faisait sourire ainsi ? Me rappelant de certain bon souvenir à l'époque où je venais toujours jouer dans ce genre de cascade en compagnie de ma cousine et de mon frère que l'on s'amusaient toujours à arroser, même qu'après il nous poursuivait pour jouer au gros méchant, une manière d'agir ordinaire avec les enfants. C'était le bon vieux temps... Je donnerais tout ce que j'ai pour retourner dans ce passé que j'avais une fois oublier... Mais maintenant je vivais dans le présent, et dans mon présent ses personnes que je chérissais autre fois n'existait plus sauf dans mon cœur. Une bonne poignet de personnes vivent dans le but de protéger une personne mais moi je vivais pour protéger ma propre personne. Qui d'autre pouvais-je protéger après tout ? Toutes les personnes à qui je tenais sont mortes, la seule chose que je pouvais protéger à par ma propre personne était les souvenirs qui me restait d'eux. Les ayant déjà une fois oublier je ne devais plus commettre de nouveau cette même erreur. Toutes personnes qui essayera de me détacher de ses souvenirs mourra de manière brutale par mes soins. Les tourmentant, les torturants, les suivants jours et nuits puis les tuants, ils tomberont dans la dépression avant même que je leurs porte le coup de grâce. Ils paieront pour avoir tenter de me toucher. Ainsi sera le future des personnes qui m'approcheront dans le but de me faire du mal. J'étais cruelle pour me venger de cette cruauté que j'avais moi même reçut pour leurs faire ressentir ma souffrance et même dans un simple combat ils sentiront ma souffrance émaner de mon corps. A présent cette mauvaise fois m'ayant monté à l'esprit je venais de perdre mon sourire me relevant et regardant en direction d'un buisson où un homme venait d'en sortir. Je reconnaissais cet homme c'était le Tsuchikage...

- C'est dangereux pour le Tsuchikage de ce promener seul dans ce genre d'endroit...

Je le regarda de mon sourire de coin qui montrait mon caractère sadique et joueur ainsi que ma grande confiance en moi et ma fierté. J'étais ce qu'on pourrait appeler une personne trop confiante sauf que les apparence son parfois trompeuse. Je ne sous estimais jamais mes adversaire. Mais j'aimais juste m'amuser avec eux... Le vent monta très vite signifiant qu'un terrible combat allait avoir lieux.

**Silver**

Le vent soufflait sur les plaines d’Iwa ; Silver sortait de la ville qu’il avait financé pour attirer les petites organisations, les « terroriste » de tous pays et renégats en quête d’un lieu sur. La chose était murement réfléchie, créer un lien de confiance entre Iwa et ses gens, récupérer les « petits » renégats et ce faire un book d’informations complet sur les risques encourus. Aussi, l’ont est jamais autant en sécurité qu’en protégeant celui qui pourrait ce retourner contre vous… Bref, l’idée était nouvelle et Silver l’espérait, parviendrait à conquérir le cœur de son « peuple » qu’il décevait plus qu’autre chose jusque là ; Bien qu’à la base il avait était contraint a ses fonctions, peut-être y prenait il un peu gout finalement ! Zenfin bref, la il sortait de cette ville aux hautes murailles et ce prenait des bourrasques vent auxquels il ne s’attendait pas… On le connaissait assez peu comme Kage mais sa réputation, dans son pays, son village et cette ville commençait à grandir par ses soins. Des combats et faits d’armes sur « médiatiser » Par ses propres soins. Voilà en quoi tiendrait le succès d’Iwa, une forte réputation engendrant un gain de confiance des gens lui permettant de prendre des décisions parfois risquée… Sans subir de trop fort contre coups. L’univers des hauts placé était définitivement quelque chose qui lui plaisait, sans qu’il ne ce l’avoue.

Ca marche sur ses plaines s’entama ; Il avait prévus de rejoindre une petite foret, proche de la frontière, proche de la qu’elle il y avait des pieds de Fraises, fraises de Konoha. Planté par ses soins, assez récemment. Il lui faudrait les arroser, débroussailler les branches et feuillages qui cachez le soleil si nécessaire puis, éventuellement, faire un petit plongeon dans l’étang dans le quel ce jetai de manière assez suicidaire, l’eau du haut de la cascade. Voilà quels étaient ses plans : Ralentit par les bourrasques bien fortes pour la saison, et les reliefs du pays… Il continua cependant, la vie de son pied de fraise en dépendait ! Ce fut une fois dans la foret que tout ce passa mieux, la foret était certes, petite. Mais très danse et remplie de vieux arbres dégageant une atmosphère lourde et étreignant le plus solide des cœurs à ce rapprocher de cette valeur de respect, vis-à-vis de ses armes… En fait, ils étaient si épais que même en automne, leurs troncs seuls bloquaient une fois enfoncé d’un mètre, la plupart des dérangements occasionnés par le vent tel que le défaisage de coiffure. Ainsi à peine entre sous le couvert de ses vieillard silencieux ; Que Silver ce stoppa pour ce recoiffer vulgairement de ses doigts passer en peigne dans sa crinière blonde ; Ses yeux bien camouflé ; lui-même n’y voyant pas grand-chose ; Un sourire satisfait enjoliva son visage : Il n’était plus très loin de la cascade.

Il ne fallut donc qu’un petit quart d’heure avant que l’Ombre de la Roche, Yondaime de « numéro » ; Ne parvienne en « vus » entrecouper par les derniers arbres, ceux-ci bien plus jeune malgré qu’ils ce trouvaient en centre de la foret, signe de combats aussi déchirants que titanesques par le passer… On disait que le mammouth Onoki notamment, y avait livré l’un de ses combats les plus connus. Quelque chose de culte, pour un Silver toujours aussi fan de ce héros légendaire de son pays comme de son village. Il calla toute pensée négative qui lui revenait en pensant à Onoki habituellement ; tels que les mauvais parleurs, les rumeurs, commérages et autres… Et ce fixa sur le pied de fraise ; Il regarda la cime des arbres, Mais aucun ne dérangeait l’accès au soleil aux heures de « pointes » ; Il constata que le terrain était légèrement humide, du a un canal déjà repérer, sous terrain mais très proche de la surface. Il ‘n’avait donc pas de réel besoin de venir jusque ici. Il ce redressa, les mains sur les reins pour s’étendre un peu, sortant sa tête de derrière un buisson plutôt… Très haut ! Pour lui en tous les cas. Pour entrevoir une tête pour le moins inconnue. Un sourcil s’arqua malgré lui alors qu’il passa au travers de ses hautes herbes, plus que buisson…

La demoiselle était blonde, elle aussi. Des cheveux visiblement assez longs et légèrement ondulé ; Qui cerclez un visage assez délicat et agréable. Lui-même recelant de deux petits bijoux verts, assez proche du chrysobéryl dans une variété que le blondinet appréciait assez. Il restât donc un très court instant à la fixer, moins d’une demi-seconde certainement. Puisque, alors qu’il ce demandait qui pouvait être cette jeune femme, ou adolescente –la question ce mêlant d’ailleurs à l’autre-, et ce qu’elle pouvait bien faire là… S’apprêtant à la soupçonner même de vouloir voler les fraises du pied importé de Konoha ! Celle-ci engagea la « conversation », ne cachant qu’à demi teinte son envie de combat et donc, lançant une menace assez claire ? Non pas exactement dans ses mots, mais plus dans l’intonation employée. Silver fronça légèrement ses deux sourcils ; il ne pourrait donc pas jouer dans l’eau pour l’instant…

Lentement, ou plus : normalement. Il emmenant sa main droite, dans la poche du même coter, de sa veste en cuir noir, ouverte lorsqu’il était entré dans la foret ; Attrapant le bâtonnet d’une sucette qui en dépassait et faisant tomber un Kiri gouter sans réellement s’en rendre compte. Il déballa alors de doigts experts de l’autre même main, le papier de la sucette tout en ce rapprochant d’un ou deux bas. Le papier fut fourrer dans l’autre poche alors qu’il ce décidai « enfin » à répondre à cette charmante personne :

« -Si le danger me cloitrai dans mon bureau, qui serais-je pour oser me dire Kage ?... » Il fourgua à l’ instant même ou il avait terminé de parler ; la sucette dans sa bouche ; Souriant de ses suites car elle était vraiment bonne ! L’un de ses pieds glissa doucement vers l’arrière et l’autre vers ‘lavant, ses genoux ce pliant très légèrement ; Les bras ballant, posture en cas de combat, il fit de grands yeux en voyant son Kiri gouter ; Qu’il ramassa plus vite que la lumière : « -Han, j’ai faillit perdre mon gouter ! » retournant son attention vers l’étrangère : « -J’ai cru comprendre dans tes mots, ton expression et ton intonation… Que tu voulais jouer ; Alors je t’attends, étrangère. »

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